Position
sur l'adoption du budget 2004.
On ne fait
pas d'omelette sans casser des oeufs, les mesures sont
peut-être, aujourd'hui drastiques, mais qu'elles
seraient-elles dans quelques années si on continuait
sur la lancée d'hier.
A chaque institution qui s'est vu couper des subventions
à elle d'établir des priorités et
d'économiser sur certains investissements qui peuvent
très bien attendre.
Souvent, certaines dépenses sont le fruit de
fantasmes de personnes qui veulent le "derniers cris" et qui
ne savent plus reconnaître le superflu par rapport
à l'indispensable.
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